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3 personnes condamnées à mort et 3 autres à perpétuité
dépêche de presse du 8 mai 2008 - Agence de Presse Africaine - APA
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Thème :
APA-Addis Abeba (Ethiopie) - Un tribunal de grande instance éthiopien a condamné jeudi trois personnes à la peine capitale et trois autres à l'emprisonnement à vie, après qu'elle ont été reconnues coupables d'attentat à la bombe contre un bus, le mois dernier.
Le tribunal de grande instance a tenu son audience dans la ville d'Humera, environ 900 km au nord d'Addis-Abeba, où l'incident a eu lieu.
Les accusés ont organisé, le mois dernier, un attentat à la bombe contre un bus de transport en commun, tuant neuf passagers et blessant grièvement 32 autres.
C'est la première fois qu'un tribunal de grande instance éthiopien rend un tel verdict aussi rapidement à la suite d'un acte criminel.
L'Ethiopie a accusé son voisin, l'Erythrée, d'avoir armé les accusés, qui auraient reçu l'ordre d'entreprendre « des activités terroristes » dans le pays.
Le tribunal avait inculpé les prévenus de meurtre de civils, de haute trahison et d'activités terroristes dans le pays.
Une personne inculpée dans le cadre de cette affaire a été condamnée à 20 ans de prison. Les accusés avaient été arrêtés une semaine après l'incident.
Le tribunal de grande instance a tenu son audience dans la ville d'Humera, environ 900 km au nord d'Addis-Abeba, où l'incident a eu lieu.
Les accusés ont organisé, le mois dernier, un attentat à la bombe contre un bus de transport en commun, tuant neuf passagers et blessant grièvement 32 autres.
C'est la première fois qu'un tribunal de grande instance éthiopien rend un tel verdict aussi rapidement à la suite d'un acte criminel.
L'Ethiopie a accusé son voisin, l'Erythrée, d'avoir armé les accusés, qui auraient reçu l'ordre d'entreprendre « des activités terroristes » dans le pays.
Le tribunal avait inculpé les prévenus de meurtre de civils, de haute trahison et d'activités terroristes dans le pays.
Une personne inculpée dans le cadre de cette affaire a été condamnée à 20 ans de prison. Les accusés avaient été arrêtés une semaine après l'incident.
Dépêche reproduite avec l'aimable autorisation de l'APA 