Dans une note verbale à propos de la résolution 65/206 "Moratoire sur l'application de la peine de mort" adoptée le 21 décembre 2010, 53 pays "continuent de s'opposer à toute tentative visant à imposer un moratoire sur la peine de mort ou l'abolition de cette dernière en violation des dispositions du droit international en vigueur".
Une note similaire avait été signée par 53 pays également en 2009 et par 58 pays en 2008, pour faire suite aux précédentes résolutions de l'Assemblée Générale des Nations Unies.
Dans une note verbale à propos de la résolution 63/168 "Moratoire sur la peine de mort" adoptée le 18 décembre 2008, 53 pays "continuent de s'opposer à toute tentative visant à imposer un moratoire sur la peine de mort ou son abolition".
Cette note, introduite est adressée au Secrétaire Général de l'Onu et distribuée à l'Assemblée Générale des Nations Unies. L'année précédente une note similaire a été signée par 58 pays.
Charles Elroy Laplace, reconnu coupable de meurtre et condamné à mort en 1996, est exécuté par pendaison à Saint-Kitts-et-Nevis.
Il s'agit de la première exécution capitale depuis dix ans. Déjà l'exécution du 20 juillet 1998 faisait suite à une période de treize ans sans exécution.
Condamnations et exécutions de 2007 à 2022 — Saint-Kitts-et-Nevis
Ces chiffres proviennent des rapports d'Amnesty International sur la peine de mort. Il s'agit du nombre de condamnations à mort et d'exécutions capitales dont Amnesty a connaissance au moment de la publication de ces rapports annuels (en général vers le mois d'avril) et dont elle a pu raisonnablement obtenir confirmation, sachant que pour certains pays les chiffres réels sont considérablement plus élevés.
Pour plus de précisions, consultez le dernier rapport : Condamnations à mort et exécutions en 2021.
Historique — Saint-Kitts-et-Nevis
A Saint-Kitts-et-Nevis, une exécution d'un prisonnier condamné à mort pour meurtre a eu lieu le 11 mai 1985 alors qu'il n'y avait eu aucune exécution depuis onze ans.