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La RPDC punira de la peine de mort tout individu complotant l'assassinat de Kim Jong-un
PYONGYANG, 28 juin (Xinhua) -- La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) a déclaré mercredi qu'elle allait imposer la peine de mort à tout individu complotant un assassinat contre son leader Kim Jong-un.
Parmi les individus impliqués dans le complot d'assassinat en question, est concernée l'ancienne président sud-coréenne Park Geun-hye, a indiqué le communiqué publié par le ministère nord-coréen de la Sécurité d'Etat, le ministère de la Sécurité du Peuple et le Bureau central du procureur public.
La RPDC a demandé que lui soit immédiatement remis Mme Park, à défaut de quoi le Sud devra subir "les effets défavorables" du Nord, a menacé le communiqué.
La RPDC a assez de preuves pour prouver que Mme Park a commencé à comploter afin d'assassiner M. Kim en 2015, selon le communiqué.
Mme Park a signé un plan d'opération spécifique du NIS (service de renseignements nationaux sud-coréens) établi avec le soutien de la CIA (renseignements américains) pour éliminer M. Kim en déguisant le complot par un accident de voiture ou un déraillement de train, toujours d'après le communiqué.
Pyongyang a affirmé avoir déjoué un complot en avril mené par des agents du NIS et de la CIA infiltrés en RPDC.
Les agents ont tous été arrêtés et ont confessé le crime. La méthode pour assassiner M. Kim comprenait également des matériaux biochimiques et radioactifs lors d'apparitions publiques du dirigeant nord-coréen, selon des officiels de la RPDC.
"Il y a eu une série de révélations de terrorisme sponsorisé d'Etat visant le leadership suprême de la RPDC", a indiqué le communiqué, publié par les médias locaux.
Parmi les individus impliqués dans le complot d'assassinat en question, est concernée l'ancienne président sud-coréenne Park Geun-hye, a indiqué le communiqué publié par le ministère nord-coréen de la Sécurité d'Etat, le ministère de la Sécurité du Peuple et le Bureau central du procureur public.
La RPDC a demandé que lui soit immédiatement remis Mme Park, à défaut de quoi le Sud devra subir "les effets défavorables" du Nord, a menacé le communiqué.
La RPDC a assez de preuves pour prouver que Mme Park a commencé à comploter afin d'assassiner M. Kim en 2015, selon le communiqué.
Mme Park a signé un plan d'opération spécifique du NIS (service de renseignements nationaux sud-coréens) établi avec le soutien de la CIA (renseignements américains) pour éliminer M. Kim en déguisant le complot par un accident de voiture ou un déraillement de train, toujours d'après le communiqué.
Pyongyang a affirmé avoir déjoué un complot en avril mené par des agents du NIS et de la CIA infiltrés en RPDC.
Les agents ont tous été arrêtés et ont confessé le crime. La méthode pour assassiner M. Kim comprenait également des matériaux biochimiques et radioactifs lors d'apparitions publiques du dirigeant nord-coréen, selon des officiels de la RPDC.
"Il y a eu une série de révélations de terrorisme sponsorisé d'Etat visant le leadership suprême de la RPDC", a indiqué le communiqué, publié par les médias locaux.