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La Malaisie abolit la peine de mort obligatoire
KUALA LUMPUR, 4 juillet (Xinhua) -- La Malaisie n'appliquera plus la peine de mort pour un certain nombre d'infractions graves à compter de ce mardi.
La loi de 2023 relative à l'abolition de la peine de mort obligatoire a été publiée au journal officiel le 30 juin et signée par Azalina Othman Said, ministre auprès du Premier ministre en charge de la Justice et de la Réforme institutionnelle. Son entrée en vigueur a été fixée au 4 juillet, selon un communiqué publié sur le portail officiel Législation fédérale de la Malaisie.
Les infractions concernées sont le trafic de drogue, le meurtre, la trahison et l'enlèvement. Auparavant, les juges devaient appliquer la peine de mort obligatoire.
Avec la nouvelle loi, les juges présidant des affaires pour lesquelles la peine de mort est obligatoire auront désormais la possibilité d'imposer des peines alternatives, telles qu'une nouvelle peine de prison de 30 à 40 ans.
La Malaisie applique un moratoire sur les exécutions depuis 2018, mais comme la législation prévoyant la peine de mort obligatoire était restée en vigueur, les tribunaux ont été contraints de continuer à condamner des accusés à la peine capitale, bien qu'aucune exécution n'ait eu lieu depuis 2017.
La loi de 2023 relative à l'abolition de la peine de mort obligatoire a été publiée au journal officiel le 30 juin et signée par Azalina Othman Said, ministre auprès du Premier ministre en charge de la Justice et de la Réforme institutionnelle. Son entrée en vigueur a été fixée au 4 juillet, selon un communiqué publié sur le portail officiel Législation fédérale de la Malaisie.
Les infractions concernées sont le trafic de drogue, le meurtre, la trahison et l'enlèvement. Auparavant, les juges devaient appliquer la peine de mort obligatoire.
Avec la nouvelle loi, les juges présidant des affaires pour lesquelles la peine de mort est obligatoire auront désormais la possibilité d'imposer des peines alternatives, telles qu'une nouvelle peine de prison de 30 à 40 ans.
La Malaisie applique un moratoire sur les exécutions depuis 2018, mais comme la législation prévoyant la peine de mort obligatoire était restée en vigueur, les tribunaux ont été contraints de continuer à condamner des accusés à la peine capitale, bien qu'aucune exécution n'ait eu lieu depuis 2017.
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