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L'Iran confirme la peine de mort pour un homme lié à la contestation de 2022
La Cour suprême d'Iran a confirmé la condamnation à mort d'un individu reconnu coupable du meurtre d'un militaire lors du mouvement de contestation déclenché par la mort de Mahsa Amini en septembre 2022.
"La condamnation à mort d'une personne qui avait tué l'officier des Gardiens de la révolution Ali Nazari en octobre 2022 lors d'émeutes à Malayer (ouest) a été confirmée par la Cour suprême", a indiqué mardi l'organe de presse de la justice, Mizan Online, sans donner l'identité du coupable.
La justice avait condamné à mort en juin cet individu, "conformément à la loi du talion".
Sept hommes ont jusqu'à présent été pendus après avoir été condamnés en lien avec le mouvement de contestation qui avait ébranlé la République islamique après la mort de Mahsa Amini, une Kurde iranienne de 22 ans arrêtée par la police des mœurs pour avoir prétendument enfreint les règles vestimentaires strictes imposées aux femmes en Iran.
Plusieurs centaines de personnes, y compris des membres de forces de sécurité, ont été tuées durant le mouvement de protestation décrit par les autorités comme des "émeutes" orchestrées par les pays occidentaux.
"La condamnation à mort d'une personne qui avait tué l'officier des Gardiens de la révolution Ali Nazari en octobre 2022 lors d'émeutes à Malayer (ouest) a été confirmée par la Cour suprême", a indiqué mardi l'organe de presse de la justice, Mizan Online, sans donner l'identité du coupable.
La justice avait condamné à mort en juin cet individu, "conformément à la loi du talion".
Sept hommes ont jusqu'à présent été pendus après avoir été condamnés en lien avec le mouvement de contestation qui avait ébranlé la République islamique après la mort de Mahsa Amini, une Kurde iranienne de 22 ans arrêtée par la police des mœurs pour avoir prétendument enfreint les règles vestimentaires strictes imposées aux femmes en Iran.
Plusieurs centaines de personnes, y compris des membres de forces de sécurité, ont été tuées durant le mouvement de protestation décrit par les autorités comme des "émeutes" orchestrées par les pays occidentaux.