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La Présidence autrichienne intervient en faveur d'Abdul Rahman contre l'Afghanistan
Ursula Plassnik: « la liberté du culte doit être respectée »
La Présidence autrichienne intervient en faveur d'Abdul Rahman contre l'Afghanistan
La ministre des Affaires étrangères, Ursula Plassnik, suit avec grande inquiétude et attention le procès intenté contre Abdul Rahman à Kabul, menacé de la peine de mort pour avoir changé de confession religieuse. « Il n'est pas normal que quelqu'un se retrouve face à un tribunal mettant en cause un droit fondamental tel que la liberté du culte et qu'il soit menacé de la peine de mort. » La Présidence de l'UE surveillera avec attention le déroulement du procès et entreprendra d'autres actions en fonction des prochains développements. « Nous tenterons tout ce que nous pourrons pour faire respecter les droits fondamentaux d'Abdul Rahman et sauver sa vie », a assuré la ministre.
Dès le cas connu, la Présidence autrichienne a chargé le représentant de l'UE à Kabul de prendre contact avec les autorités afghanes et de lancer d'autres actions de l'UE. La Présidence autrichienne, dans ce dossier, est également en contact étroit avec le représentant spécial de l'UE pour l'Afghanistan, l'Ambassadeur Vendrell.
En outre, il a été fait part de l'inquiétude profonde de l'Autriche et de l'UE vis-à-vis de ce cas à l'ambassadeur afghan à Vienne, ce 22 mars. A cette occasion ont été rappelées les obligations de l'Afghanistan en respect des traités internationaux relatifs aux droits de l'Homme et de la constitution afghane qui garantissent le respect de la liberté du culte. L'Autriche et l'UE attendent donc du juge qu'il n'applique pas seulement le droit local dans ce procès mais tienne également compte des obligations de l'Afghanistan, tel que prévu par la constitution nationale.
La Présidence autrichienne intervient en faveur d'Abdul Rahman contre l'Afghanistan
La ministre des Affaires étrangères, Ursula Plassnik, suit avec grande inquiétude et attention le procès intenté contre Abdul Rahman à Kabul, menacé de la peine de mort pour avoir changé de confession religieuse. « Il n'est pas normal que quelqu'un se retrouve face à un tribunal mettant en cause un droit fondamental tel que la liberté du culte et qu'il soit menacé de la peine de mort. » La Présidence de l'UE surveillera avec attention le déroulement du procès et entreprendra d'autres actions en fonction des prochains développements. « Nous tenterons tout ce que nous pourrons pour faire respecter les droits fondamentaux d'Abdul Rahman et sauver sa vie », a assuré la ministre.
Dès le cas connu, la Présidence autrichienne a chargé le représentant de l'UE à Kabul de prendre contact avec les autorités afghanes et de lancer d'autres actions de l'UE. La Présidence autrichienne, dans ce dossier, est également en contact étroit avec le représentant spécial de l'UE pour l'Afghanistan, l'Ambassadeur Vendrell.
En outre, il a été fait part de l'inquiétude profonde de l'Autriche et de l'UE vis-à-vis de ce cas à l'ambassadeur afghan à Vienne, ce 22 mars. A cette occasion ont été rappelées les obligations de l'Afghanistan en respect des traités internationaux relatifs aux droits de l'Homme et de la constitution afghane qui garantissent le respect de la liberté du culte. L'Autriche et l'UE attendent donc du juge qu'il n'applique pas seulement le droit local dans ce procès mais tienne également compte des obligations de l'Afghanistan, tel que prévu par la constitution nationale.