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Iran: pendaison de trois condamnés à mort
TEHERAN - Trois hommes reconnus coupables de viol pour l'un d'eux, et de meurtres pour les deux autres, ont été pendus mercredi dans la prison d'Evine à Téhéran, a rapporté jeudi la presse iranienne.
Un Afghan, Nazir Ozbak, a été exécuté pour le meurtre de trois femmes, dont il avait abandonné les corps dans la fosse sceptique d'un immeuble, selon le quotidien Ayandeh No.
Un deuxième condamné, présenté sous son seul prénom de Qader, avait tué un homme dans un endroit désertique à la périphérie de la capitale parce qu'il ne voulait pas lui rembourser une dette de 2.160 dollars.
Le troisième, présenté sous son seul prénom de Rassoul, avait enlevé il y a deux ans une femme mariée avant de la violer.
Ces pendaisons portent à au moins quatre le nombre de personnes exécutées en Iran depuis le début de l'année, selon un décompte établi par l'AFP à partir d'informations de presse et de témoins.
L'an dernier, 154 personnes ont été exécutées dans la République islamique, selon ce même décompte.
La trahison, l'espionnage, le meurtre, l'attaque à main armée, le trafic de drogue à partir de plus de cinq kilos d'opium, le viol, la sodomie, l'adultère, la prostitution et l'apostasie sont passibles de la peine de mort en Iran.
Un Afghan, Nazir Ozbak, a été exécuté pour le meurtre de trois femmes, dont il avait abandonné les corps dans la fosse sceptique d'un immeuble, selon le quotidien Ayandeh No.
Un deuxième condamné, présenté sous son seul prénom de Qader, avait tué un homme dans un endroit désertique à la périphérie de la capitale parce qu'il ne voulait pas lui rembourser une dette de 2.160 dollars.
Le troisième, présenté sous son seul prénom de Rassoul, avait enlevé il y a deux ans une femme mariée avant de la violer.
Ces pendaisons portent à au moins quatre le nombre de personnes exécutées en Iran depuis le début de l'année, selon un décompte établi par l'AFP à partir d'informations de presse et de témoins.
L'an dernier, 154 personnes ont été exécutées dans la République islamique, selon ce même décompte.
La trahison, l'espionnage, le meurtre, l'attaque à main armée, le trafic de drogue à partir de plus de cinq kilos d'opium, le viol, la sodomie, l'adultère, la prostitution et l'apostasie sont passibles de la peine de mort en Iran.