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Deux Saoudiens décapités pour meurtre et viol
Riyad - Deux Saoudiens ont été décapités au sabre vendredi dans le royaume pour des affaires de meurtre et de viol, a annoncé le ministère de l'Intérieur, cité par l'agence de presse officielle SPA.
Aaed ben Ajab al-Qahtani avait été condamné à mort pour un meurtre par arme à feu lors d'une bagarre, a indiqué le ministère, sans plus de détails.
Fahed Abdallah al-Boureidi avait pour sa part été jugé coupable d'«agression sexuelle» sur une mineure, a-t-on précisé de même source. Interpellé en possession de stupéfiants, il était également accusé de sodomie --notamment sur un mineur-- et de divers vols.
L'âge des deux personnes exécutées n'a pas été précisé.
Ces décapitations portent à 121 le nombre de condamnés à mort exécutés dans le royaume ultra-conservateur depuis le début de l'année. Ce nombre dépasse le précédent record de 113 exécutions enregistrées en 2000.
Les exécutions sont souvent publiques en Arabie saoudite, un pays qui applique une forme stricte de la loi islamique.
L'homicide, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue, les attaques à main armée, la sorcellerie, l'adultère, la sodomie, l'homosexualité et l'apostasie sont passibles de la peine capitale, qui se pratique généralement en public.
Aaed ben Ajab al-Qahtani avait été condamné à mort pour un meurtre par arme à feu lors d'une bagarre, a indiqué le ministère, sans plus de détails.
Fahed Abdallah al-Boureidi avait pour sa part été jugé coupable d'«agression sexuelle» sur une mineure, a-t-on précisé de même source. Interpellé en possession de stupéfiants, il était également accusé de sodomie --notamment sur un mineur-- et de divers vols.
L'âge des deux personnes exécutées n'a pas été précisé.
Ces décapitations portent à 121 le nombre de condamnés à mort exécutés dans le royaume ultra-conservateur depuis le début de l'année. Ce nombre dépasse le précédent record de 113 exécutions enregistrées en 2000.
Les exécutions sont souvent publiques en Arabie saoudite, un pays qui applique une forme stricte de la loi islamique.
L'homicide, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue, les attaques à main armée, la sorcellerie, l'adultère, la sodomie, l'homosexualité et l'apostasie sont passibles de la peine capitale, qui se pratique généralement en public.