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La Biélorussie reste le seul pays européen pratiquant la peine de mort
dépêche de presse du 29 octobre 2007 - Ria Novosti
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NEW YORK (ONU), 29 octobre - RIA Novosti. La Biélorussie est le seul pays d'Europe qui applique encore la peine de mort, selon un rapport annuel de l'ONU qui sera rendu public lundi à New York.
"En Europe, il n'y a qu'un Etat qui entache l'image de marque de cette zone libre de la peine de mort, et c'est la Biélorussie, qui a exécuté trois personnes en 2006 et quatre autres en 2005", précise le rapport.
Par le nombre de "meurtres légaux", la Biélorussie s'est hissée en 2006 au même rang que la Corée du Nord et Bahreïn.
Nombre de pays figurant dans le rapport ne fournissent pas à l'ONU de données officielles sur le nombre de peines de mort appliquées, et les comptes-rendus se fondent uniquement sur des informations fournies par des médias, des organisations de défense des droits de l'homme et des proches de personnes exécutées.
"En stricte conformité avec les traditions soviétiques, les sentences capitales restent un secret d'Etat en Biélorussie. C'est pourquoi le nombre réel de personnes exécutées est sans doute plus élevé", spécifie le rapport annuel des Nations unies.
"En Europe, il n'y a qu'un Etat qui entache l'image de marque de cette zone libre de la peine de mort, et c'est la Biélorussie, qui a exécuté trois personnes en 2006 et quatre autres en 2005", précise le rapport.
Par le nombre de "meurtres légaux", la Biélorussie s'est hissée en 2006 au même rang que la Corée du Nord et Bahreïn.
Nombre de pays figurant dans le rapport ne fournissent pas à l'ONU de données officielles sur le nombre de peines de mort appliquées, et les comptes-rendus se fondent uniquement sur des informations fournies par des médias, des organisations de défense des droits de l'homme et des proches de personnes exécutées.
"En stricte conformité avec les traditions soviétiques, les sentences capitales restent un secret d'Etat en Biélorussie. C'est pourquoi le nombre réel de personnes exécutées est sans doute plus élevé", spécifie le rapport annuel des Nations unies.