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Le Premier ministre irakien déterminé à faire exécuter "Ali le Chimique"
BAGDAD, 11 novembre (XINHUA) -- Le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki a affirmé dimanche sa détermination à faire exécuter " Ali le Chimique" et deux autres proches de Saddam Hussein.
Lors d'une conférence de presse à Bagdad, il a déclaré : "Nous sommes déterminés à assurer que la loi soit appliquée et que les ( accusés) soient traduits en justice".
Il a critiqué le refus des Etats-Unis de les remettre à l'Irak pour qu'ils soient exécutés, ce qui aurait dû être fait il y a plus d'un mois selon la loi irakienne.
"Ali le Chimique", demi-frère de Saddam Hussein tristement connu pour avoir utilisé des gaz toxiques contre les Kurdes, Sultan Hashim al-Taie et Hussein Rasheed Mohammad, ancien directeur adjoint des Forces armées irakiennes, ont été reconnus coupables par le Haut tribunal pénal irakien de génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité en juin et ils ont été condamnés à la peine de mort par pendaison.
Le verdict ayant été rendu en septembre, les exécutions auraient dû avoir lieu dans les 30 jours suivants selon la loi irakienne mais elles ont été reportées pour cause de Ramadan.
Lors de la conférence de presse de dimanche, Nouri al-Maliki a révélé que certains détenus peu impliqués dans l'insurrection seraient amnistiés mais que cela ne s'appliquerait pas aux meurtriers et aux poseurs de bombes reconnus coupables par les tribunaux irakiens.
Il a par ailleurs dressé un bilan positif de la sécurité dans la capitale soulignant que les "actes de terrorisme" à Bagdad ont diminué de 77 % par rapport à l'année dernière, signe pour lui de la fin proche des conflits sectaires entre sunnites et chiites.
Le Premier ministre a également mis en garde les pays voisins contre ces groupes d'insurgés qui fuient l'Irak et passent la frontière.
"La majorité des terroristes fuit vers les pays voisins et je demande aux pays voisins arabes et islamiques d'être sur leurs gardes", a déclaré Maliki.
Lors d'une conférence de presse à Bagdad, il a déclaré : "Nous sommes déterminés à assurer que la loi soit appliquée et que les ( accusés) soient traduits en justice".
Il a critiqué le refus des Etats-Unis de les remettre à l'Irak pour qu'ils soient exécutés, ce qui aurait dû être fait il y a plus d'un mois selon la loi irakienne.
"Ali le Chimique", demi-frère de Saddam Hussein tristement connu pour avoir utilisé des gaz toxiques contre les Kurdes, Sultan Hashim al-Taie et Hussein Rasheed Mohammad, ancien directeur adjoint des Forces armées irakiennes, ont été reconnus coupables par le Haut tribunal pénal irakien de génocide, crimes de guerre et crimes contre l'humanité en juin et ils ont été condamnés à la peine de mort par pendaison.
Le verdict ayant été rendu en septembre, les exécutions auraient dû avoir lieu dans les 30 jours suivants selon la loi irakienne mais elles ont été reportées pour cause de Ramadan.
Lors de la conférence de presse de dimanche, Nouri al-Maliki a révélé que certains détenus peu impliqués dans l'insurrection seraient amnistiés mais que cela ne s'appliquerait pas aux meurtriers et aux poseurs de bombes reconnus coupables par les tribunaux irakiens.
Il a par ailleurs dressé un bilan positif de la sécurité dans la capitale soulignant que les "actes de terrorisme" à Bagdad ont diminué de 77 % par rapport à l'année dernière, signe pour lui de la fin proche des conflits sectaires entre sunnites et chiites.
Le Premier ministre a également mis en garde les pays voisins contre ces groupes d'insurgés qui fuient l'Irak et passent la frontière.
"La majorité des terroristes fuit vers les pays voisins et je demande aux pays voisins arabes et islamiques d'être sur leurs gardes", a déclaré Maliki.