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L'Algérie dans "la bonne direction" pour les droits humains (commission)
L'Algérie est "dans la bonne direction" en ce qui concerne le respect des droits de l'Homme, a déclaré mardi le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini, à l'agence algérienne APS.
"La situation des droits de l'Homme en Algérie ne cesse de s'améliorer. Je ne dis pas que les choses vont bien dans ce domaine, mais je dis plutôt que les choses vont mieux", a dit Me Ksentini à l'occasion du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.
"La situation s'améliore donc de mieux en mieux parce qu'il y a une volonté politique, comme il y a une demande de la part du peuple algérien. Je pense que dans notre pays, nous sommes dans la bonne direction au sujet des droits de l'Homme", a ajouté le président de cette instance officielle.
"La Charte pour la paix et la réconciliation nationale est une grande réalisation, en matière des droits de l'Homme car (...) le droit le plus élémentaire du citoyen est le droit à la paix civile", a-t-il encore estimé.
Cette charte, adoptée par référendum en 2005, a accordé l'amnistie aux islamistes armés sous certaines conditions.
Selon Me Ksentini, sa commission s'est notamment occupée "de la question des disparus".
Plusieurs ONG estiment régulièrement que toute la lumière n'a pas été faite au sujet des personnes portées disparues du fait des forces de l'ordre depuis le début des années 1990.
Par ailleurs, la CNCPPDH continuera "à demander l'abolition de la peine de mort qui est, à mon avis, désuète, et gagnerait à être remplacée par d'autres peines de substitution", a conclu Me Ksentini en annonçant l'organisation d'un "séminaire international sur ce sujet, les 12 et 13 janvier prochains à Alger".
L'Algérie observe un moratoire sur la peine capitale depuis 1993.
"La situation des droits de l'Homme en Algérie ne cesse de s'améliorer. Je ne dis pas que les choses vont bien dans ce domaine, mais je dis plutôt que les choses vont mieux", a dit Me Ksentini à l'occasion du soixantième anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'Homme.
"La situation s'améliore donc de mieux en mieux parce qu'il y a une volonté politique, comme il y a une demande de la part du peuple algérien. Je pense que dans notre pays, nous sommes dans la bonne direction au sujet des droits de l'Homme", a ajouté le président de cette instance officielle.
"La Charte pour la paix et la réconciliation nationale est une grande réalisation, en matière des droits de l'Homme car (...) le droit le plus élémentaire du citoyen est le droit à la paix civile", a-t-il encore estimé.
Cette charte, adoptée par référendum en 2005, a accordé l'amnistie aux islamistes armés sous certaines conditions.
Selon Me Ksentini, sa commission s'est notamment occupée "de la question des disparus".
Plusieurs ONG estiment régulièrement que toute la lumière n'a pas été faite au sujet des personnes portées disparues du fait des forces de l'ordre depuis le début des années 1990.
Par ailleurs, la CNCPPDH continuera "à demander l'abolition de la peine de mort qui est, à mon avis, désuète, et gagnerait à être remplacée par d'autres peines de substitution", a conclu Me Ksentini en annonçant l'organisation d'un "séminaire international sur ce sujet, les 12 et 13 janvier prochains à Alger".
L'Algérie observe un moratoire sur la peine capitale depuis 1993.