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Iran/lapidation: les USA appuient le Brésil
dépêche de presse du 2 août 2010 - Agence mondiale d'information - AFP
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Les Etats-Unis ont pressé aujourd'hui les autorités iraniennes d'accepter l'offre du Brésil d'accorder l'asile à une Iranienne condamnée à mort par lapidation en Iran pour adultère.
"Si le Brésil se porte volontaire pour accueillir (...) cette femme, nous espérons que l'Iran considèrera cela comme un geste humanitaire", a déclaré le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley. "Et nous espérons que l'Iran sera sensible au fait que le Brésil a fait un geste et manifesté sa volonté de résoudre ce cas", a-t-il ajouté.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula Da Silva a proposé samedi l'asile à Sakineh Mohammadi-Ashtiani, 43 ans, mère de deux enfants, condamnée en 2006 pour avoir eu "une relation illégale" avec deux hommes après la mort de son mari, mais aussi pour "meurtre et crimes". Lula en a appelé aux autorités iraniennes, et notamment au président Mahmoud Ahmadinejad, en invoquant les liens d'amitié entre les deux pays.
Une vaste campagne internationale cherche actuellement à lui éviter la lapidation et Téhéran a annoncé en juillet la suspension temporaire de sa peine.
"Si le Brésil se porte volontaire pour accueillir (...) cette femme, nous espérons que l'Iran considèrera cela comme un geste humanitaire", a déclaré le porte-parole du département d'Etat, Philip Crowley. "Et nous espérons que l'Iran sera sensible au fait que le Brésil a fait un geste et manifesté sa volonté de résoudre ce cas", a-t-il ajouté.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula Da Silva a proposé samedi l'asile à Sakineh Mohammadi-Ashtiani, 43 ans, mère de deux enfants, condamnée en 2006 pour avoir eu "une relation illégale" avec deux hommes après la mort de son mari, mais aussi pour "meurtre et crimes". Lula en a appelé aux autorités iraniennes, et notamment au président Mahmoud Ahmadinejad, en invoquant les liens d'amitié entre les deux pays.
Une vaste campagne internationale cherche actuellement à lui éviter la lapidation et Téhéran a annoncé en juillet la suspension temporaire de sa peine.