La justice jordanienne commue en 15 ans de prison la peine capitale d'un homme condamné à mort pour meurtre.
Comme il s'agissait, selon les dispositions jordaniennes, d'un "crime d'honneur" (le condamné avait tué sa nièce qui avait été violée), les commutations de peine sont possibles quand la famille de la victime accorde son indulgence.