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Tunisie: peine de mort contre le meurtrier de la directrice de Radio Jeunes
TUNIS (AP) - Deux ans après son forfait, le meurtrier d'Awatef Hmida, la directrice de la chaîne radiophonique tunisienne «Radio Jeunes», a été condamné à la peine de mort, rapporte samedi la presse tunisienne.
Le jugement a été prononcé vendredi par la 3ème chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis, après que les expertises médicales ont établi que le meurtrier ne souffrait d'aucune maladie mentale.
Le 12 décembre 2001, la nouvelle de l'assassinat de la responsable de la radio et les circonstances du drame avaient suscité un grand émoi dans l'opinion publique, notamment dans le milieu des médias où la victime était connue et appréciée pour ses qualités humaines et professionnelles.
Awatef Hmida avait fait appel au meurtrier, plombier auquel elle avait l'habitude de recourir pour des réparations dans son domicile où elle vivait seule. Le 12 décembre 2001, en plein mois de Ramadan, le jeune homme âgé de 30 a voulu abuser d'Atawef Hmida. Devant sa résistance, il lui a fracassé la tête à l'aide des outils qu'il avait à sa disposition, avant de la traîner jusqu'à la salle de bain où elle a été trouvée baignant dans son sang.
La peine capitale est rarement prononcée par les tribunaux tunisiens. La dernière sentence du genre remonte aux années 80.
Le jugement a été prononcé vendredi par la 3ème chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis, après que les expertises médicales ont établi que le meurtrier ne souffrait d'aucune maladie mentale.
Le 12 décembre 2001, la nouvelle de l'assassinat de la responsable de la radio et les circonstances du drame avaient suscité un grand émoi dans l'opinion publique, notamment dans le milieu des médias où la victime était connue et appréciée pour ses qualités humaines et professionnelles.
Awatef Hmida avait fait appel au meurtrier, plombier auquel elle avait l'habitude de recourir pour des réparations dans son domicile où elle vivait seule. Le 12 décembre 2001, en plein mois de Ramadan, le jeune homme âgé de 30 a voulu abuser d'Atawef Hmida. Devant sa résistance, il lui a fracassé la tête à l'aide des outils qu'il avait à sa disposition, avant de la traîner jusqu'à la salle de bain où elle a été trouvée baignant dans son sang.
La peine capitale est rarement prononcée par les tribunaux tunisiens. La dernière sentence du genre remonte aux années 80.