Plan du site
Un homme exécuté pour meurtre aux US
dépêche de presse du 17 novembre 2011 - Agence mondiale d'information - AFP
Pays :
Un homme de 46 ans a été exécuté hier au Texas (sud) pour l'enlèvement, le viol et le meurtre d'une fillette de 7 ans, devenant le troisième homme exécuté aux Etats-Unis cette semaine, a-t-on appris auprès des autorités pénitentiaires de l'Etat.
Guadalupe Esparza, un Latino-Américain de 46 ans, a été déclaré mort par injection létale à 18h21 locales (1h21 aujourd'hui en France). Ses dernières paroles ont été pour la famille de la victime, dont plusieurs membres ont assisté à l'exécution. "J'espère que vous me pardonnerez, je ne sais pas pourquoi tout ceci est arrivé", a-t-il dit.
Esparza, qui avait un casier judiciaire chargé en matière d'agressions sexuelles, a été condamné à mort en 2001 pour avoir kidnappé, au milieu d'une nuit de 1999, la fillette de la femme qu'il fréquentait mais qui l'avait repoussé, selon des documents de justice consultés par l'AFP. Il l'avait violée, étranglée à mort et abandonnée sur un terrain proche. Son ADN avait été retrouvée sur le corps de la petite fille ainsi que ses vêtements tâchés de sang jetés dans une poubelle.
Il avait épuisé tous ses appels, y compris devant la Cour suprême. Il avait tenté de prouver qu'il était pénalement irresponsable et n'était de ce fait pas éligible pour la peine capitale. Mais une cour d'appel fédérale, rejetant son appel, avait conclu que "les preuves indiquent qu'Esparza ne souffrait pas de retard mental" au moment des faits.
Il s'agit de la troisième exécution de la semaine aux Etats-Unis, tandis qu'une quatrième est programmée demain dans l'Idaho (Nord-Ouest). Guadalupe Esparza est la 42e personne mise à mort cette année dans le pays, et la 13e au Texas, qui pratique à lui seul un tiers des exécutions américaines. Aucune autre exécution n'est cependant prévue d'ici la fin de l'année dans cet Etat, où le nombre d'exécutions a chuté de moitié en vingt ans.
Guadalupe Esparza, un Latino-Américain de 46 ans, a été déclaré mort par injection létale à 18h21 locales (1h21 aujourd'hui en France). Ses dernières paroles ont été pour la famille de la victime, dont plusieurs membres ont assisté à l'exécution. "J'espère que vous me pardonnerez, je ne sais pas pourquoi tout ceci est arrivé", a-t-il dit.
Esparza, qui avait un casier judiciaire chargé en matière d'agressions sexuelles, a été condamné à mort en 2001 pour avoir kidnappé, au milieu d'une nuit de 1999, la fillette de la femme qu'il fréquentait mais qui l'avait repoussé, selon des documents de justice consultés par l'AFP. Il l'avait violée, étranglée à mort et abandonnée sur un terrain proche. Son ADN avait été retrouvée sur le corps de la petite fille ainsi que ses vêtements tâchés de sang jetés dans une poubelle.
Il avait épuisé tous ses appels, y compris devant la Cour suprême. Il avait tenté de prouver qu'il était pénalement irresponsable et n'était de ce fait pas éligible pour la peine capitale. Mais une cour d'appel fédérale, rejetant son appel, avait conclu que "les preuves indiquent qu'Esparza ne souffrait pas de retard mental" au moment des faits.
Il s'agit de la troisième exécution de la semaine aux Etats-Unis, tandis qu'une quatrième est programmée demain dans l'Idaho (Nord-Ouest). Guadalupe Esparza est la 42e personne mise à mort cette année dans le pays, et la 13e au Texas, qui pratique à lui seul un tiers des exécutions américaines. Aucune autre exécution n'est cependant prévue d'ici la fin de l'année dans cet Etat, où le nombre d'exécutions a chuté de moitié en vingt ans.