La France, avec l'ensemble de ses partenaires européens, suit avec attention les procès au Bangladesh visant à juger les crimes commis durant la guerre d'indépendance du Bangladesh en 1971. Elle souligne son attachement au respect des normes internationales de justice.
A la suite de la condamnation à mort prononcée le 28 février, la France réaffirme son opposition déterminée à la peine de mort, en tous lieux et en toutes circonstances. Elle rappelle que le Statut de Rome sur la Cour pénale internationale, compétente pour les crimes les plus graves ayant une portée internationale, ne prévoit pas la peine de mort comme peine applicable.