Le 23 juillet 2012, la Cour suprême de Géorgie avait accordé un sursis à Warren Hill deux heures avant son exécution, pour des questions de procédure d'injection létale.
Le 19 février 2013 une cour d'appel lui avait accordé un nouveau sursis, quelques minutes avant son exécution, pour pouvoir examiner la question de son retard mental.
Le lundi 15 juillet 2013 à quelques heures de l'exécution un juge local la suspend temporairement pour pouvoir examiner jeudi un recours sur l'origine secrète du produit qui sert à l'injection létale (le pentobarbital).
Les avocats de Warren Hill tentent toujours d'obtenir une décision sur le fond par la Cour suprême des Etats-Unis puisque l'exécution des handicapés mentaux est inconstitutionnelle aux Etats-Unis.