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Émirats: un Indien condamné à mort pour le viol d'une écolière
dépêche de presse du 29 juillet 2013 - Agence mondiale d'information - AFP
Pays :
Agence France-Presse, ABOU DHABI - Un ressortissant indien de 57 ans a été condamné à mort lundi pour le viol d'une fillette émiratie de 7 ans dans une école d'Abou Dhabi, selon un avocat de la famille de la victime.
Un tribunal d'Abou Dhabi a reconnu le quinquagénaire coupable du viol de la petite Sarah dans la cantine de l'école où il était employé et de «menaces de mort» proférées contre sa victime pour qu'elle taise l'affaire, a ajouté à l'AFP Me Hussein al-Jaziri.
Le jugement --qui doit être confirmé en appel, puis en cassation avant d'être appliqué-- est de nature à «redonner l'espoir à la victime et à sa famille que justice a été faite», a ajouté l'avocat, invitant les parents des enfants victimes de viol, un tabou dans les milieux conservateurs aux Émirats arabes unis, à dénoncer ce genre de crime.
En février 2011, un Émirati reconnu coupable du viol et du meurtre d'un enfant pakistanais de quatre ans dans une mosquée à Dubaï avait été exécuté.
Son exécution était la première d'un condamné à mort en une dizaine d'années dans l'émirat.
Les exécutions sont rares aux Émirats arabes unis, dont fait partie Dubaï. Bien que la loi prévoit la peine capitale, elle est souvent commuée en réclusion à perpétuité.
Un tribunal d'Abou Dhabi a reconnu le quinquagénaire coupable du viol de la petite Sarah dans la cantine de l'école où il était employé et de «menaces de mort» proférées contre sa victime pour qu'elle taise l'affaire, a ajouté à l'AFP Me Hussein al-Jaziri.
Le jugement --qui doit être confirmé en appel, puis en cassation avant d'être appliqué-- est de nature à «redonner l'espoir à la victime et à sa famille que justice a été faite», a ajouté l'avocat, invitant les parents des enfants victimes de viol, un tabou dans les milieux conservateurs aux Émirats arabes unis, à dénoncer ce genre de crime.
En février 2011, un Émirati reconnu coupable du viol et du meurtre d'un enfant pakistanais de quatre ans dans une mosquée à Dubaï avait été exécuté.
Son exécution était la première d'un condamné à mort en une dizaine d'années dans l'émirat.
Les exécutions sont rares aux Émirats arabes unis, dont fait partie Dubaï. Bien que la loi prévoit la peine capitale, elle est souvent commuée en réclusion à perpétuité.