La France salue la décision de la cour d'appel de Khartoum de libérer Meriam Ibrahim Ishag et d'annuler sa condamnation à mort pour apostasie et adultère, prononcée le 15 mai par un tribunal de première instance.
Nous rappelons notre opposition à la peine de mort en tous lieux et en toutes circonstances. Nous continuerons de suivre avec vigilance la situation de Meriam Ibrahim Ishag.
La France appelle le Soudan à garantir les libertés fondamentales - et notamment la liberté de religion ou de conviction - prévues dans sa constitution provisoire de 2005 et dans le pacte international relatif aux droits civils et politiques, qu'il a ratifié.