La France est préoccupée par les informations faisant état de l'exécution imminente du jeune kurde Samer Naseem.
Samer Naseem était mineur au moment des faits qui lui sont reprochés. Son droit fondamental à un procès juste et équitable n'a pas été respecté.
La France appelle les autorités iraniennes à respecter leurs engagements internationaux dans le domaine des droits de l'Homme, notamment la convention des Nations unies relative aux droits de l'enfant et le pacte international sur les droits civils et politiques, auxquels l'Iran a librement souscrit.
La France rappelle son opposition constante et déterminée à la peine de mort, en tous lieux et en toutes circonstances.