La France salue la décision, annoncée hier par le président Uhuru Kenyatta, de commuer les peines de plus de 2700 condamnés à mort.
Si le Kenya n'a procédé à aucune exécution depuis 1987, la population carcérale en attente de l'exécution de la peine capitale est une des plus importantes au monde.
La France, mobilisée pour l'abolition de la peine de mort partout dans le monde, encourage le Kenya à poursuivre en ce sens et à rejoindre la communauté des pays qui ont définitivement aboli ce châtiment cruel et inhumain.