La France condamne l'exécution le 4 mars de quinze personnes par les autorités jordaniennes.
Elle appelle les autorités jordaniennes à établir un moratoire en vue d'une abolition définitive de la peine de mort.
La France réitère son opposition constante à la peine de mort, en tous lieux et en toutes circonstances. Elle est engagée en faveur de l'abolition universelle de la peine de mort.