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La Chine exécute un délinquant sud-coréen pour la première fois en 9 ans
SEOUL, 04 août (Yonhap) -- La Chine a exécuté ce vendredi un délinquant sud-coréen pour la première fois en neuf ans, a déclaré un responsable du ministère sud-coréen des Affaires étrangères.
Le fonctionnaire a dit regretter cette exécution, qui a eu lieu à Guangzhou, dans la province de Guangdong, malgré les appels répétés de Séoul à la clémence.
La Chine a informé la Corée du Sud de l'exécution à l'avance par voie diplomatique, a précisé le fonctionnaire.
L'homme avait été arrêté en Chine en 2014 pour trafic de stupéfiants. Il a été condamné à mort par un tribunal de district en 2019 avant qu'une juridiction supérieure finalise le jugement en novembre 2020, selon le responsable.
Il était en possession de 5 kilogrammes de méthamphétamine lors de son arrestation. En Chine, les personnes prises en flagrant délit de contrebande, de vente, de transport ou de production de plus d'un kilogramme d'opium ou de plus de 50 grammes de méthamphétamine ou d'héroïne sont passibles de la peine de mort, de la réclusion à perpétuité ou d'une peine d'emprisonnement d'au moins 15 ans.
«Le gouvernement regrette, d'un point de vue humanitaire, que l'exécution concerne un de nos ressortissants», a déclaré le fonctionnaire.
Le gouvernement sud-coréen avait demandé à Pékin de reconsidérer ou de retarder l'exécution à plusieurs reprises, en vain, selon la source.
Le fonctionnaire a dit regretter cette exécution, qui a eu lieu à Guangzhou, dans la province de Guangdong, malgré les appels répétés de Séoul à la clémence.
La Chine a informé la Corée du Sud de l'exécution à l'avance par voie diplomatique, a précisé le fonctionnaire.
L'homme avait été arrêté en Chine en 2014 pour trafic de stupéfiants. Il a été condamné à mort par un tribunal de district en 2019 avant qu'une juridiction supérieure finalise le jugement en novembre 2020, selon le responsable.
Il était en possession de 5 kilogrammes de méthamphétamine lors de son arrestation. En Chine, les personnes prises en flagrant délit de contrebande, de vente, de transport ou de production de plus d'un kilogramme d'opium ou de plus de 50 grammes de méthamphétamine ou d'héroïne sont passibles de la peine de mort, de la réclusion à perpétuité ou d'une peine d'emprisonnement d'au moins 15 ans.
«Le gouvernement regrette, d'un point de vue humanitaire, que l'exécution concerne un de nos ressortissants», a déclaré le fonctionnaire.
Le gouvernement sud-coréen avait demandé à Pékin de reconsidérer ou de retarder l'exécution à plusieurs reprises, en vain, selon la source.
Dépêche reproduite avec l'aimable autorisation de l'agence de presse Yonhap