Quinze personnes auraient été secrètement passées par les armes en République démocratiqe du Congo selon Amnesty International.
Ces exécutions sont les premières dont on ait connaissance depuis la levée, en septembre 2002, du moratoire qui avait été instauré par le président Kabila en mars 2001. Les précédentes exécutions connues remontent à décembre 2000.