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Le Canada condamne la lapidation d'un homme en Iran
Agence France-Presse - Ottawa - Le chef de la diplomatie canadienne, Peter MacKay, a «condamné vigoureusement» mercredi l'exécution par lapidation en Iran d'un homme condamné pour adultère, et exhorté Téhéran à épargner une femme qui doit connaître le même sort.
«Le Canada condamne vigoureusement l'exécution par lapidation de M. Jafar Kiani, le 5 juillet 2007, dans le village d'Aghche Kand, dans la province de Qazvin», déclare M. MacKay dans un communiqué.
Un Iranien condamné pour adultère a été exécuté par lapidation dans le nord-ouest de l'Iran, a annoncé mardi les autorités judiciaires iraniennes, sans préciser la date de l'exécution.
Il s'agit de la première exécution de ce type depuis celle, appliquée et reconnue officiellement par les autorités en juillet 2001, d'une Iranienne condamnée pour meurtre et adultère.
«Ces actes constituent une violation flagrante à la fois du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, dont fait partie l'Iran, et de la Déclaration universelle des droits de l'homme. De plus, les exécutions par lapidation sont contraires aux engagements nationaux pris par l'Iran, y compris au moratoire sur les lapidations en vigueur depuis 2002», fait valoir M. MacKay.
La condamnation à la lapidation pour la femme reconnue coupable d'adultère avec M. Kiani «n'a pas été appliquée», ont indiqué les autorités iraniennes.
M. MacKay exhorte les autorités iraniennes «à renoncer à appliquer cette sentence».
«Le Canada condamne vigoureusement l'exécution par lapidation de M. Jafar Kiani, le 5 juillet 2007, dans le village d'Aghche Kand, dans la province de Qazvin», déclare M. MacKay dans un communiqué.
Un Iranien condamné pour adultère a été exécuté par lapidation dans le nord-ouest de l'Iran, a annoncé mardi les autorités judiciaires iraniennes, sans préciser la date de l'exécution.
Il s'agit de la première exécution de ce type depuis celle, appliquée et reconnue officiellement par les autorités en juillet 2001, d'une Iranienne condamnée pour meurtre et adultère.
«Ces actes constituent une violation flagrante à la fois du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, dont fait partie l'Iran, et de la Déclaration universelle des droits de l'homme. De plus, les exécutions par lapidation sont contraires aux engagements nationaux pris par l'Iran, y compris au moratoire sur les lapidations en vigueur depuis 2002», fait valoir M. MacKay.
La condamnation à la lapidation pour la femme reconnue coupable d'adultère avec M. Kiani «n'a pas été appliquée», ont indiqué les autorités iraniennes.
M. MacKay exhorte les autorités iraniennes «à renoncer à appliquer cette sentence».
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- Le Canada condamne l'exécution par lapidation de M. Jafar Kiani en Iran — communiqué de presse Nº 92 du 11 juillet 2007