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Chongqing: Exécution d'un chef de gang
CHONGQING, 27 novembre (Xinhua) -- Chen Ming, un chef de gang notoire, a été exécuté jeudi dans la municipalité de Chongqing (sud-ouest), après avoir été reconnu coupable d'avoir dirigé une organisation criminelle responsable, ces dix dernières années, d'un meurtre et de huit agressions.
Chen Ming, 36 ans et originaire du district de Rongchang dans la banlieue de Chongqing, est la première personne exécutée depuis le déclenchement dans cette municipalité d'une campagne contre le crime organisé.
Le Cinquième Tribunal populaire intermédiaire de Chongqing avait condamné Chen Ming à mort en juillet 2008 et la Cour populaire suprême a approuvé la peine capitale ce jeudi.
Les 13 autres membres du gang ont été condamnés à des peines allant de trois ans de prison à la peine capitale assortie d'un sursis.
Selon un porte-parole du tribunal, le gang de Chen Ming a été reconnu coupale d'escroquerie, de racket, de trafic de stupéfiants et de gestion illégale de casinos dans des villages du district de Rongchang.
Dans une autre affaire, l'Assemblée populaire municipale de Chongqing (parlement municipal) a décidé vendredi de révoquer les mandats de quatre de ses membres qui seraient impliqués dans le crime organisé.
Il s'agit de l'ancien directeur-adjoint du Bureau municipal de la Sécurité publique de Chongqing, Peng Changjian, de l'ancien chef de la police de la circulation de Chongqing, Chen Honggang, de l'ancien chef de la police du district de Dianjiang, Xu Qing et d'un homme d'affaires, Li Qiang.
Peng Changjian et Xu Qiang ont été arrêtés sous l'accusation de dissimulation de crime organisé et l'enquête sur Chen Honggang est encore en cours.
Li Qiang a été jugé le mois dernier. Il est accusé d'organisations criminelles, perturbation des transports publics et de l'ordre public, dissimulation de comptabilité, versement de pots-de-vin et évasion fiscale. Le tribunal n'a pas encore rendu son jugement.
Selon un porte-parole du parquet municipal de Chongqing, 700 personnes liées au crime organisé ont été arrêtées cette année.
Au moins 50 autres personnes, dont 28 responsables du milieu de la justice et de la police, ont fait l'objet d'enquêtes sur la base de soupçons d'abus de pouvoir, de corruption, de manquement au devoir ou de violation des droits des citoyens.
Chen Ming, 36 ans et originaire du district de Rongchang dans la banlieue de Chongqing, est la première personne exécutée depuis le déclenchement dans cette municipalité d'une campagne contre le crime organisé.
Le Cinquième Tribunal populaire intermédiaire de Chongqing avait condamné Chen Ming à mort en juillet 2008 et la Cour populaire suprême a approuvé la peine capitale ce jeudi.
Les 13 autres membres du gang ont été condamnés à des peines allant de trois ans de prison à la peine capitale assortie d'un sursis.
Selon un porte-parole du tribunal, le gang de Chen Ming a été reconnu coupale d'escroquerie, de racket, de trafic de stupéfiants et de gestion illégale de casinos dans des villages du district de Rongchang.
Dans une autre affaire, l'Assemblée populaire municipale de Chongqing (parlement municipal) a décidé vendredi de révoquer les mandats de quatre de ses membres qui seraient impliqués dans le crime organisé.
Il s'agit de l'ancien directeur-adjoint du Bureau municipal de la Sécurité publique de Chongqing, Peng Changjian, de l'ancien chef de la police de la circulation de Chongqing, Chen Honggang, de l'ancien chef de la police du district de Dianjiang, Xu Qing et d'un homme d'affaires, Li Qiang.
Peng Changjian et Xu Qiang ont été arrêtés sous l'accusation de dissimulation de crime organisé et l'enquête sur Chen Honggang est encore en cours.
Li Qiang a été jugé le mois dernier. Il est accusé d'organisations criminelles, perturbation des transports publics et de l'ordre public, dissimulation de comptabilité, versement de pots-de-vin et évasion fiscale. Le tribunal n'a pas encore rendu son jugement.
Selon un porte-parole du parquet municipal de Chongqing, 700 personnes liées au crime organisé ont été arrêtées cette année.
Au moins 50 autres personnes, dont 28 responsables du milieu de la justice et de la police, ont fait l'objet d'enquêtes sur la base de soupçons d'abus de pouvoir, de corruption, de manquement au devoir ou de violation des droits des citoyens.