Réponse
L'UE a effectivement fait part récemment au gouvernement philippin de son inquiétude en apprenant que celui-ci avait l'intention de rétablir la peine capitale et, ainsi, de mettre fin au moratoire de fait en vigueur depuis 1976. L'UE a exhorté le gouvernement philippin à maintenir le moratoire et à ne pas exécuter les condamnations à la peine de mort prononcées.