Le président de l'Irak, Jalal Talabani, a annoncé le 17 novembre qu'il ne signerait pas l'ordre d'exécution de l'ancien ministre des Affaires étrangères irakien Tarek Aziz condamné à mort par la haute cour pénale irakienne.
Depuis les pressions internationales continuent pour obtenir sa grâce, notamment avec une résolution du parlement européen.