Doyle Hamm devait être exécuté le 22 février en Alabama, mais au bout de deux heures et demi l'équipe en charge de l'exécution l'a suspendue, ne parvenant pas à trouver de veines pour pratiquer l'injection létale.
Un tribunal avait préalablement rejeté le recours de ses avocats en indiquant que la perfusion pourrait se faire au niveau des jambes ou des pieds (ses bras ne le permettant pas suite aux traitements liés à son cancer), ce qui n'a pas été possible.