La Cour suprême de Géorgie accorde un sursis à Warren Hill, deux heures avant son exécution, pour des questions de procédure d'injection létale.
De nombreuses instances internationales ont demandé la clémence pour Warren Hill, qui souffre de troubles mentaux.
Warren Hill devait d'abord être exécuté le 18 juillet, date reportée au 23 juillet avant le sursis de dernière minute accordé pour d'autres motifs que la déficience mentale.