L'exécution de Clayton Lockett par injection létale s'est mal déroulée dans l'Oklahoma. En raison notamment de l'échec de l'intraveineuse, le condamné a fini par mourir d'une "crise cardiaque foudroyante" alors que l'exécution avait été stoppée. Il a été déclaré mort 43 minutes après le début de l'injection.
Une deuxième exécution, celle de Charles Warner, qui était prévue deux heures plus tard a été reportée.
Suite à la mise en place d'une nouvelle procédure d'exécution, ces deux condamnés à mort avaient tenté, sans succès, d'obtenir des détails sur le nouveau cocktail létal mis en place pour leurs exécutions. Leurs avocats arguaient qu'ils risquaient de mourir dans la douleur.
Comme pour l'exécution de Dennis McGuire en janvier dans l'Ohio, les témoins ont rapporté un état de souffrance durant l'injection : agitation, tremblements, grognements,...