Abdul Rahman est arrêté en Afghanistan et risque la peine de mort pour s'être converti au christianisme. En vertu de la charia, l'apostasie est passible de mort dans ce pays.
Suite à une très forte mobilisation internationale, la justice afghane rejette finalement les charges d'apostasie pesant sur lui faute de preuve tout en invoquant son état mental. Il est libéré le 27 mars puis accueilli par l'Italie.